Informations du crédit et de l’immobilier – Juillet 2021

Découvrez des informations générales concernant le crédit et l’immobilier 👇

Nouveau diagnostic de performance energétique

(DPE) : Quelles conséquences ?

Le DPE a fait peau neuve le 1er juillet. Quel impact sur le prix de votre logement ?

 

Désormais, le DPE n’est plus établi sur la seule consommation d’énergie « primaire » mais aussi sur les émissions de gaz à effet de serre. C’est la plus mauvaise note des 2 sur une échelle de A à G qui sera retenue pour définir la classe du logement. Selon le Ministère du Logement, si 60% des habitations vont conserver la même étiquette DPE, 40% vont gagner ou perdre une classe énergétique.

Attention à l’impact sur le prix du logement ! Une étude réalisée par le Notariat montre qu’un logement F ou G subit une décote de 2 à 18% par rapport à un logement classé D. L’introduction du nouveau DPE risque d’accentuer encore plus cet écart de prix.

 

Le DPE constitue un facteur important de négociation !

Quelles perspectives du côté des taux ?

Des taux stables en ce début d’été

 

Les grilles de taux communiquées par les banques montrent une stabilité par rapport au mois dernier. Tout juste quelques ajustements à la hausse de certains établissements sur les profiles aux revenus les moins élevés.

 

Les conditions de taux continuent d’être particulièrement attractives : votre courtier saura vous faire bénéficier des meilleures conditions obtenues auprès de ses partenaires bancaires.

 

 

 

Attention au délai de traitement dans les banques durant l’été

 La période estivale est synonyme de congés et les banques n’échappent pas à la règle !
Les délais de décision risquent de s’allonger et nous vous recommandons fortement d’en tenir compte en négociant un délai de conditions suspensives idéalement de 75 jours minimum.

 

Baisse du taux d’usure au 1er juillet

 

Le taux d’usure correspond au taux annuel effectif global (TAEG) maximum auquel les banques peuvent prêter. Calculé sur la moyenne des TAEG du trimestre précédent et majoré d’un tiers, la baisse au 1er juillet est la conséquence logique des conditions très favorables rencontrées par les emprunteurs tout au long du printemps dernier.

L'âge idéal pour emprunter

Si l’âge légal minimum pour devenir propriétaire est de 18 ans, en théorie, il n’existe pas de réelle limite d’âge pour souscrire un crédit, certains établissements proposent même des remboursements après 80 ans. Mais dans la pratique les conditions peuvent varier.

 

Pour un jeune adulte qui vient de rentrer dans la vie active, parfois certains freins existent :

     Une épargne trop récente et donc un apport
personnel qui risque d’être juste par rapport aux exigences des banques,

     Un recul insuffisant sur l’expérience
professionnelle et donc sur la capacité à rembourser sur le long terme.

Pour ces deux raisons, obtenir un prêt immobilier avant 25 ans peut parfois être compliqué.
Néanmoins, un bon dossier pourra aboutir et bénéficier de conditions avantageuses, car la clientèle des jeunes actifs est très attrayante pour les banques.

 

 

C’est principalement entre 30 en 45 ans que l’on devient propriétaire, avec un âge moyen de 36 ans pour ceux que l’on appelle « les primo-accédants ».

 

Cette tranche d’âge présente plus de visibilité et de stabilité sur la situation personnelle et
professionnelle. De plus, lorsque l’on emprunte en couple, la présence d’un co-emprunteur est réel un atout pour l’obtention d’un prêt immobilier.

Au-delà de 45 ans, emprunter est tout à fait envisageable, il faudra simplement être plus
vigilant sur la durée de l’emprunt, et anticiper la baisse des revenus liée au passage en retraite. Les risques de santé pourront également impacter la partie assurance.

Emprunter après 60 ans

Contrairement aux idées reçues, il est tout à fait possible d’emprunter après 60 ans, sur une durée adaptée. Car, grâce à leur patrimoine et à leur pouvoir d’achat stable, les retraités présentent de nombreux atouts pour les banques : il est donc tout à fait envisageable de concrétiser de nouveaux projets immobiliers à la retraite.

Si c’est possible, il est néanmoins préférable d’essayer d’anticiper et donc d’emprunter avant de partir en retraite. Grâce à un prêt à palier, le montant des échéances pourra s’adapter au montant des revenus : plus élevées au départ, les échéances diminueront au moment du passage en retraite. Objectif : préserver le pouvoir d’achat !

 

 

Attention à l’assurance

 

Le principal frein pour les seniors est lié à l’assurance : à un âge avancé, le risque de maladie augmente, et ce risque est au centre de la tarification assurance.
Il faudra donc être vigilant au moment de concrétiser son projet et vérifier si on est assurable et selon quelles conditions de coûts et de garanties.

 

 

Faites-vous accompagner par votre courtier qui saura vous orienter et vous conseiller pour
obtenir les meilleures conditions selon votre situation personnelle. 

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